Image teaser : Philipp Hegglin
Tu veux vraiment comprendre le hockey sur glace ? Alors tu es au bon endroit. Powerplay, mise au jeu, dégagement interdit ou hors-jeu – nous t’expliquons les règles et les termes les plus importants du hockey, en lien avec la National League, de manière claire et concise. Notre série de blogs est parfaite pour les débutants, mais offre aussi aux fans chevronnés des insights passionnants. Prépare-toi pour la nouvelle saison – et pour chaque discussion dans la tribune des fans.
Ici, la crosse entre en jeu : le joueur s’en sert pour empêcher un adversaire d’avancer, par exemple en l’accrochant à la hanche ou au bras.
Même s’il n’y a pas de chute, si l’action freine le jeu, la pénalité est sifflée.
Quand un joueur empêche son adversaire d’avancer en le retenant avec le bras, la main ou la crosse, on parle de « retenir ».
Cela peut se faire de plusieurs manières : tirer sur le maillot, enrouler un bras autour de la taille ou saisir la crosse de l’adversaire.
Lorsqu’un joueur fait volontairement trébucher son adversaire en lui tendant la jambe ou en passant sa crosse entre les jambes pour le faire tomber, on parle de tripping.
Même si le geste est involontaire, faire tomber avec la crosse est sanctionné.
Photo: Ivan Sokolov
Les émotions font partie du jeu – mais il y a des limites. On parle de dureté excessive lorsque les gestes n’ont plus rien à voir avec le jeu : comme frapper après le coup de sifflet, bousculer inutilement, ou de combats (même peu intenses) à coups de poing.
Photo: Philipp Hegglin
Un joueur utilise sa crosse au-dessus de la hauteur des épaules pour jouer le palet – ou touche un adversaire avec.
• Si seul le palet est touché : simple arrêt de jeu, pas de pénalité
• Si la crosse touche le visage ou la tête d’un adversaire : pénalité
Cela se produit lorsqu’un joueur empêche son adversaire de jouer en lui tenant sa crosse.